Je pratique le vélo route, et je suis particulièrement choqué par le nombre de bouteilles en verre jetées sur le bas côté des routes par des consommateurs inconscients (?), alcooliques, pollueurs.
Car les bouteilles Heineken -marque la plus fréquemment rencontrée- mais aussi quelques autres marques de bières, ne sont pas jetées n'importe où. Les bords de route ou zones cyclables aménagés de bordures bétonnées ou de glissières métalliques, les bords de route à parois rocheuses sont volontairement privilégiés.
La quantité de bris de verre qui en résulte est conséquente. Le but est bien clair: il s'agit de faire en sorte que ces contenants en verre se brisent, la finalité ayant pour objectif d'importuner au maximum les pratiquants du deux roues en provoquant de fréquentes crevaisons à leurs montures. J'ai été confronté à ce genre de problème lors de mes deux dernières sorties (des bris de verre très fins et bien acérés ont été retrouvés dans les pneumatiques, et deux crevaisons en ont résulté).
On encourage les individus à pratiquer un sport, à se déplacer par ce moyen de transport non polluant, mais dans quel état sont les quelques rares zones aménagées sur le bas côté des routes et réservées aux cyclistes ? Ces zones ne sont jamais entretenues (les engins de balayage mécanisés existent mais ils ne sont pas souvent utilisés). C'est ainsi que silex, gravillons, pierres, déchets de toutes sortes, bouteilles et bris de verre, encombrent cet espace réservé aux pneumatiques les plus fragiles.
Un système de consignation devrait être mis en place pour lutter contre ce phénomène, signe d'une incivilité de plus en plus marquée. Je considère en effet que la mise en place d'un tel système limiterait le nombre de bouteilles jetées dans la nature.
Je ne sais pas ce que les autres pratiquants pensent de cette remarque, mais il est indéniable que tout pratiquant peut observer lors de ses sorties la présence des innombrables bris de verres qui jonchent le bas côté des routes, et qu'il faut impérativement éviter sous peine de sanction immédiate. Les écarts effectués au tout dernier moment pour éviter ces obstacles se font au détriment de sa propre sécurité, car, bien entendu, si un véhicule doit surgir, c'est à cet instant précis qu'il se présentera pour dépasser le cycliste.
Car les bouteilles Heineken -marque la plus fréquemment rencontrée- mais aussi quelques autres marques de bières, ne sont pas jetées n'importe où. Les bords de route ou zones cyclables aménagés de bordures bétonnées ou de glissières métalliques, les bords de route à parois rocheuses sont volontairement privilégiés.
La quantité de bris de verre qui en résulte est conséquente. Le but est bien clair: il s'agit de faire en sorte que ces contenants en verre se brisent, la finalité ayant pour objectif d'importuner au maximum les pratiquants du deux roues en provoquant de fréquentes crevaisons à leurs montures. J'ai été confronté à ce genre de problème lors de mes deux dernières sorties (des bris de verre très fins et bien acérés ont été retrouvés dans les pneumatiques, et deux crevaisons en ont résulté).
On encourage les individus à pratiquer un sport, à se déplacer par ce moyen de transport non polluant, mais dans quel état sont les quelques rares zones aménagées sur le bas côté des routes et réservées aux cyclistes ? Ces zones ne sont jamais entretenues (les engins de balayage mécanisés existent mais ils ne sont pas souvent utilisés). C'est ainsi que silex, gravillons, pierres, déchets de toutes sortes, bouteilles et bris de verre, encombrent cet espace réservé aux pneumatiques les plus fragiles.
Un système de consignation devrait être mis en place pour lutter contre ce phénomène, signe d'une incivilité de plus en plus marquée. Je considère en effet que la mise en place d'un tel système limiterait le nombre de bouteilles jetées dans la nature.
Je ne sais pas ce que les autres pratiquants pensent de cette remarque, mais il est indéniable que tout pratiquant peut observer lors de ses sorties la présence des innombrables bris de verres qui jonchent le bas côté des routes, et qu'il faut impérativement éviter sous peine de sanction immédiate. Les écarts effectués au tout dernier moment pour éviter ces obstacles se font au détriment de sa propre sécurité, car, bien entendu, si un véhicule doit surgir, c'est à cet instant précis qu'il se présentera pour dépasser le cycliste.